Une enquête publique qui a bénéficié d'une publicité sans précédent (prière de ne pas ricaner SVP...)
Du 3 juin au 6 juillet 2013, toutes les mairies des Villes de la C.A.V.O accueillaient l’enquête publique organisée sur la révision du Schéma d'Aménagement et de Gestion de l'Eau du bassin Orge-Yvette. (carte accessible par le lien suivant: http://www.orge-yvette.fr/Pdf/bassin_sage.pdf
Il faut dire que le document antérieur, approuvé il y a 7 ans, en 2006, s'est avéré insuffisant pour endiguer les conséquences négatives d'une urbanisation chaotique et de la négligence des pouvoirs publics à l'égard de nos ressources souterraines.
Cette enquête est pilotée par la C.LE. (Commission locale de l'eau) du bassin, qui ne comprend pas moins de 5 Vices-présidents et/ ou Maires de l'agglomération du Val d'Orge (Mmes Carvalho et Leonetti, et MM. Cholley, Decaux, Esprin).
Compte tenu des engagements des dirigeants de notre Agglomération d'animer en toute transparence le débat public sur le mode de gestion de l'eau et ses objectifs, cette enquête publique offrait une occasion rêvée d'informer et d'encourager l'expression des habitants .
Nous n'avons pas été déçus: les municipalités du Val d'Orge ont en effet rivalisé d'initiatives pour donner à cette enquête l'audience maximale: campagne d'affichage, réunions publiques, rubriques spéciales dans les journaux et sur les sites des Villes et de l'Agglo, motions des conseils municipaux: la volonté collective de combler le déficit antérieur de démocratie locale sur les questions de l'eau faisait plaisir à voir, n'en déplaise aux esprits chagrins qui accusent nos dirigeants de frilosité en la matière.
Résultats: une affluence record aux permanences du commissaire enquêteur (à Brétigny, Sainte-Geneviève ou Longpont), et des registres d’enquêtes couverts de contributions.
Des éléments riches d'enseignement
Il faut dire que les éléments du dossier d’enquête (bilan du SAGE précédent, état des lieux de notre secteur en matière de gestion de l'eau potable et d'assainissement) sont riches d'enseignement pour ceux qui s'interrogent encore sur l'opportunité d'une réappropriation publique de la distribution et de la production de l'eau potable: le renoncement des pouvoirs publics à toute maîtrise et toute ambition en matière de ressource en eau, le renvoi à l'extérieur de notre territoire de la problématique de traitement de nos eaux usées, tout cela se traduit par une véritable "fracturation hydraulique", une segmentatation de la vision du cycle de l'eau , génératrice d'impuissance à l'égard des menaces qui pèsent sur sa préservation.
La gestion raisonnée de la ressource et l'assainissement: un même enjeu qui mérite une maîtrise publique globale
A la fois pour une approche environnementale cohérente du cycle de l'eau, de son captage à son retraitement après consommation, mais aussi pour une maîtrise nécessairement globale de l'évolution des différentes composantes de notre facture d'eau, il y a vraiment urgence à construire un service public unifié de l'eau de l'agglomération du val d'orge, de sa production à son assainissement, capable de mettre en oeuvre une politique d'ensemble.
Pour ceux d'entre vous qui auraient réussi à passer au travers du battage médiatique entretenu autour de cette enquète publique, voici en résumé quelques uns des principaux éléments de son dossier (les sous-titres en italique sont l’œuvre de notre Atelier).
I - La situation en matière d'eau potable
La pollution des eaux souterraines , un moyen très efficace de mettre et de maintenir les usagers sous la coupe des producteurs privés.
D'après
la DDASS de l'Essonne, le contexte des
eaux souterraines
destinées à la production d'eau potable a été particulièrement dégradé par les nitrates dans les années
1980. De ce fait , les ouvrages de captage d'eau les plus pollués
ont été soit abandonnés, soit connectés à des ouvrages
moins pollués pour assurer une dilution de la ressource.
La
fermeture de nombreux captages d'eau souterraine a
été compensée par l'ouverture de prises d'eau de surface
de la Seine par les opérateurs privés En plus de la possibilité de diluer la ressource et de se prémunir contre les pollutions
chroniques des nappes, ces prises d'eau de surface et les
forages restant en fonction sont interconnectés les uns aux
autres dans l'ensemble de l'agglomération Parisienne,
assurant ainsi une sécurité accrue en cas de problème
ponctuel sur l'un
de ces ouvrages.
Cependant,
la
problématique de la qualité de la ressource en eau
potable rest e d'actualité,, malgré la mise
en place des programmes d'aides de l'Agence de l'Eau
Seine-Normandie
à des actions concrètes pour sa préservation . Peu d'actions en ce sens
sont menées et les projets d'abandon de forage pour
ressource défectueuse ne cessent d'augmenter.
L'importance stratégique des nappes de grande profondeur
En
cas de crise majeure qui toucherait toutes les sources
d'eau potable de Seine de manière concomitante, la Région
Ile de France possède une ressource stratégique de secours
située à grande profondeur dans les aquifères de l'Albien
et du Néocomien. La gestion de cette ressource est
effectuée à grande échelle par le SDAGE Seine-Normandie,
dans lequel
sont définis : le volume maximum de prélèvements, la
répartition de ces prélèvements et les usages de cette
eau.
II
- L'assainissement
La pratique de rejet des eaux usées en aval: une fuite en avant qui a atteint ses limites
Chronologiquement,
la première station d'épuration des eaux usées de la
Région Parisienne est la station d'Achères, située à
l'aval de Paris. Cette station résulte d'un schéma de
grands égouts évacuant loin de Paris les eaux indésirables : eaux usées et eaux pluviales mêlées dans
un système unitaire.
En 1970,
les départements de la petite couronne de Paris se
regroupent pour créer le SIAAP (Syndicat Interdépartemental
pour l'Assainissement de l'Agglomération Parisienne). Cet
organisme construit alors des ouvrages en amont de Paris
afin de traiter les eaux usées de l'est et du sud de
l'agglomération.
Dans
le schéma d'assainissement des eaux de
l'agglomération parisienne de l'an 2000, le constat était que cet assainissement restait caractérisé par
une insuffisance du traitement des eaux usées :
jusqu'en 1987, la station d'Achères avec
2 100 000 m3/jour,
constituait l'ouvrage unique de traitement pour l'ensemble de l'agglomération. A partir de 1987, la station
de Valenton traitait 300 000 m3/jour
(soit un septième de la capacité d'Achères, mais avec un
traitement de meilleure qualité).
Une seule solution, la décentralisation du traitement des eaux usées
L'étude
générale sur l'assainissement de l'agglomération parisienne,
menée par l'Agence de
l 'Eau Seine-Normandie
en 1994 ,
proposait quatre scénarios d'aménagement. Un de ces
scénarios a retenu tous les suffrages. Il s'agit de celui dont un des points forts préconise de :
"décentraliser le traitement des eaux usées par la création
d'unités de traitement proches des lieux de consommation".
Les orientation de la mise à jour du SAGE Orge-Yvette
III-1
- Gestion du cycle naturel de l'eau
A
- les inondations:
Un risque qui reste majeur dans notre bassin
Actuellement, si
l'on croise l'aléa météorologique, le relief et la
vulnérabilité du territoire due à une très forte
densité de population concentrée dans des
zones déterminées, on voit que le bassin
Orge-Yvette
est extrêmement sensible au risque inondation : la
protection des biens et des personnes est un enjeu majeur.
Sur
l'ensemble du territoire, il existe un grand potentiel de
zone d'expansion de crues. Dans les secteurs urbanisés
beaucoup d'entre elles ont été aménagées et participent
déjà à la gestion des risques inondations. Dans les
secteurs ruraux, reste encore un grand potentiel inutilisé. Ces milieux doivent impérativement faire l'objet
à la fois de mesures de protections réglementaires
d'urgence et de mesures de restauration et de préservation
afin de garder leur capacité hydraulique et de ne pas
aggraver le risque inondation existant.
Les
programmes d'aménagement des fonds de vallées contre ce risque montrent aujourd'hui une disparité en
fonction des différents sous-bassins versants et de leurs
maîtres d'ouvrages .
Cette
disparité a longtemps reposé sur une appréhension
différente du risque par les populations de l'amont et de
l'aval. En effet, la zone urbaine est depuis très longtemps
confrontée aux problèmes liés aux inondations alors que
la zone péri-urbaine
commence depuis peu à subir les conséquences de son
développement. C'est pourquoi, alors que certains acteurs
sont déjà avancés (grands syndicats
d'aménagement des cours d'eau SIVOA, SIAHVY e
t SIVSO), d'autres commencent à se donner les moyens
(humains et financiers) de mesures de
protection de la population (territoires du SIHA de la
Région de Limours et du SI du Bassin de la Haute Vallée
de la Rémarde et du PNR de la Haute Vallée de Chevreuse).
Au
vu des prévisions d'expansion de l'urbanisation,le SAGE Orge-Yvette
doit mettre en place une double stratégie pour la gestion des
inondations :
-Dans
les zones de forts ruissellements, il s'agit d'intégrer une
politique sévère de gestion des eaux pluviales pour retenir l'eau
le plus en amont possible quels que soient les projets d'aménagement
envisagés.
Dans
les fonds des vallées, il est nécessaire de protéger le lit
majeur des cours d'eau et les zones d'expansion de crues existantes
de toute imperméabilisation pour ne pas aggraver la situatino.
.
B
- Les milieux naturels liés à l'eau
Ces
milieux sont :
-
les cours d'eau du territoire et les nappes souterraines les
alimentant ,
-
les zones humides de fond de vallées souvent occupées
par des roselières,
-
les mares et étangs situés eux aussi en fond de
vallées, mais aussi sur les plateaux et les pentes.
En
termes de biodiversité, ces milieux renferment un
fort potentiel qui ne s'exprime pas pleinement du fait de
la trop forte pression humaine. Ainsi, on constate que la
biodiversité piscicole est faible dans les rivières du
territoire du fait de l'absence des conditions de
reproduction nécessaires aux poissons.
Cependant, avec
la présence sur le territoire Orge-Yvette
du PNR de la Haute Vallée de Chevreuse, mais aussi sur
la base de la volonté des grands syndicats intercommunaux , les milieux naturels
liés à l'eau bénéficient d'une forte attention du fait
de leur double fonction: En plus d'être des
réservoirs de la diversité biologique, ils sont aussi des
maillons de la chaîne hydraulique. Leur préservation
participe à la
gestion des crues des cours d'eau et au ralentissement
des ruissellements.
Du
point de vue de l'agrément, certains syndicats
intercommunaux offrent un accès aux milieux naturels
liés à l'eau pour les habitants en aménageant des
promenades au bord des rivières et des plans d'eau. Afin
de concilier l'Homme et la nature, ces aménagements
prévoient déjà différents usages (promenade, pêche...) en
limitant leur extension à certaines zones.
Ainsi,
les milieux naturels liés à l'eau sont des éléments stratégiques
pour le SAGE Orge-Yvette.
Leur
préservation et l'amélioration de leur qualité participeront à
l'amélioration du fonctionnement hydrologique global du bassin
versant. La reconquête de la biodiversité, signe de bonne santé
des cours d'eau, permettra de jouer sur plusieurs thèmes :
- Des investissement moins onéreux pour la lutte
contre les inondations,
-
La reconquête de la faculté d'auto-épuration des cours d'eau,
-
Une conciliation des espaces naturels, du patrimoine bâti ancien
(moulin, lavoirs...) liés à l'eau et des habitants du territoire,
afin que ces derniers deviennent les premiers protecteurs de l'Eau.
Cette
stratégie doit être couplée avec des mesures de protection des
terrains à travers la révision des documents d'urbanisme locaux.
Cette
stratégie doit également s'accompagner du renforcement des études
d'impact pour tout équipement susceptible de produire des
pollutions pouvant altérer la qualité des nappes d'eau
souterraines et des cours d'eau.
III-2
- Gestion du cycle des usages de l'eau
A
- l'eau potable
En
termes de source d'eau potable, plus de 90% de la
population
du territoire Orge-Yvette
est alimentée par les sources interconnectées des
multinationales
de l'eau :
- Prises
d'eau de Seine à Morsang-sur-Seine et à Viry-Châtillon
(Suez-Lyonnaise), Choisy-le-Roi (Véolia), Aubergenville,
- Prise
d'eau de l'Essonne : Itteville (Véolia)
Actuellement,
au niveau de ces prises d'eau on n'observe pas d'augmentation de
la consommation d'eau potable malgré l'augmentation de la
population. Cette tendance est à mettre en relation avec
le changement de comportement des habitants et des
industriels ainsi qu'avec le développement de procédés
permettant des économies d'eau, phénomène corrélé avec
l'augmentation du prix de l'eau .
L'état
des lieux du SAGE Orge-Yvette
indique que le volume d'eau potable distribué sur tout le
territoire s'élevait à environ 43 millions de m3
pour
l'année 1999. Sur ce volume, 45% sont importés depuis
l'extérieur du territoire. Sur les 55% restants, les trois
quarts (soit environ 18 millions de m3)
proviennent de la prise d'eau de Seine de la
Lyonnaise des eaux à Viry-Châtillon.
Au
vu des schémas directeurs, une augmentation de la population
à l'horizon 2015 est prévue dans la zone interconnectée
de la Région Parisienne. Ceci laisse penser
que dans l'avenir, la quantité d'eau distribuée ne posera
pas un réel problème pour la plus grande partie des
habitants , à moins d'observer un très
fort étiage sur la Seine et l'Essonne. Dans ce cas, les
nappes profondes réservées en cas de cris sont
sensées palier au manque d'eau qui pourrait survenir.
Ainsi,
en termes de gestion de l'eau potable, sur l'ensemble du territoire :
La
stratégie du SAGE Orge-Yvette vise à instaurer une politique de
bonne gestion de la distribution de l'eau potable et des règles
d'accès de tous à la ressource .
En
relation avec la protection des milieux naturels, des nappes des
Sables de Fontainebleau et de la Craie qui alimentent une partie de
la population en eau potable, cette stratégie s'orientera vers
l'amélioration et la préservation de la qualité et de la quantité
des ressources.
B
- l'assainissement
Actuellement
les eaux usées de 85 % de la population du territoire
Orge-Yvette sont collectées par les grands collecteurs
intercommunaux du SIAHVY, SIVSO et SIVOA qui débouchent
dans le collecteur du SIAAP pour être traitées à la
station Seine- Amont de Valenton.
Dans les diagnostics de réseaux
d'assainissement, le problème du volume d'eaux claires
parasites permanentes (ECPP) a été souligné comme une
des sources majeures de dysfonctionnement de la collecte.
Par temps sec, les eaux usées peuvent être diluées dans
les collecteurs par les eaux de nappes à plus de 40 %.
Par
temps de pluie, les eaux claires parasites météoriques
(ECPM) viennent grossir de façon considérable le volume
total d'eau dans les collecteurs (de l'ordre de 45 à
50%). Elles provoquent une saturation de ces derniers et leur
surverse dans le milieu naturel. Afin de protéger le milieu
récepteur, il est impératif de réduire de manière
drastique ces dysfonctionnements.
Ainsi, la politique de réhabilitation des réseaux de collecte
intercommunaux déjà mise en œuvre doit se
poursuivre à l'échelle communale.
D'autre
part, en plus de la réhabilitation des réseaux de
collecte, la volonté d'un véritable plan de gestion de
l'assainissement s'est installée. Les syndicats
intercommunaux ont donc mis en place des schémas
directeurs sur ce thème, afin d'apprécier à
la
fois la situation actuelle et son évolution
à l'horizon 2015.
Une saturation des collecteurs d'eau usées dès 2015 à la hauteur de Villemoisson (confluence de l'Orge et de l'Yvette)
La modélisation du réseau du SIAHVY,
réalisée dans le cadre du schéma directeur global,
indiquait en 1999 que : "le réseau du SIAHVY semble
disposer d'une capacité propre à assurer le transit de ses eaux
usées sans dommages excessifs (...). Toutefois, l'étude des
collecteurs du SIVOA a montré
que ceux-ci étaient déjà localement en charge par temps sec en
situation actuelle. En situation future, le réseau risque d'être
complètement saturé si d'importants travaux ne sont pas réalisés
pour l'adapter à l'évolution de l'urbanisation."
De
ce fait, malgré un objectif ambitieux de suppression
drastique des eaux claires parasites (réduction à 13% en
volume des eaux claires parasites permanentes et de 80%
des surfaces actives, pour
le bassin de l'Yvette), la capacité des ouvrages
à la confluence des collecteurs de l'Yvette et de l'Orge
serait insuffisante à l'horizon 2015 compte tenu de
l'évolution urbanistique.
De
plus, toujours à l'horizon 2015, les capacités de l'extension de la station d'épuration
de Valenton ne sont pas prévues pour l'évolution de la
population et des activités du bassin de collecte de
l'Orge-Yvette.
S'appuyant
à la fois sur ces conclusions traduisant la
saturation actuelle des collecteurs du bassin versant
Orge-Yvette,
sur les perspectives d'évolution de la population , et sur l'orientation régionale de traiter
les eaux usées au plus près des consommations,
les syndicats intercommunaux ont opté pour une stratégie
d'assainissement qui combine deux axes
d'actions :
- Poursuivre
la réhabilitation des unités de traitement et du système de
collecte existants,
- Continuer
la mise en place d’unités de traitement , à condition de ne pas dégrader la qualité de l’Orge
à l'aval fixée par les objectifs du SAGE Orge-Yvette, tout en améliorant les rejets qualitatifs et
quantitatifs sur l’intégralité des réseaux.
Dans
le cadre du SAGE, la mise en œuvre de cette stratégie doit
permettre d'atteindre des objectifs de :
-
Meilleur état des milieux naturels, en raccourcissant les distances
de transport des eaux usées et en évitant les surverses dans les
cours d'eau dues à la saturation des réseaux, en passant
d'une échelle interdépartementale à une échelle intercommunale.
-
Meilleure gestion de l'assainissement (collecte et traitement du
collectif / contrôle de l'autonome) à l'échelle intercommunale
pour assurer la cohérence actions sur les sous-bassins versants du
territoire Orge-Yvette par des acteurs de terrain qui ont déjà une
bonne expérience en ce domaine .
-
Meilleure maîtrise des coûts de l'assainissement à l'échelle
intercommunale.
(Le dossier complet de l'enquète publique est accessible sur le site du SAGE: http://www.orge-yvette.fr/ )
(Le dossier complet de l'enquète publique est accessible sur le site du SAGE: http://www.orge-yvette.fr/ )
Et maintenant ?
Le commissaire enquèteur a transmis au 7 août aux préfets (Essonne et Yvelines,) au président de la CLE et aux maires des villes d'accueil de ses permanences, son rapport et sa synthèse des observations formulées dans les registres. Logiquement, il ne nous reste plus qu'à attendre, à la rentrée, la séance publique du conseil communautaire que le président de l'Agglomération ne manquera pas d'initier, pour en faire connaître les résultats et poursuivre le débat lancé entre élus et habitants
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Réactions, questions, commentaires